Evaluateurs externes – évaluation à mi-parcours 52 views0 applications


Cette évaluation de mi-parcours participative, axée sur l’apprentissage, est une excellente opportunité d’identifier les approches clé et les bonnes pratiques autour de l’engagement des jeunes vulnérables dans la lutte contre l’extrémisme violent dans le contexte sahélien, du point de vue des communautés impliquées.

Les candidats retenus concevront l’étude et rédigeront un rapport d’inception, puis mèneront le travail de terrain, et enfin la rédaction d’un rapport ainsi que la présentation des résultats et apprentissages clé.

Nous recherchons une équipe de consultants avec :

– 2 à 6 ans dans la conception et la mise en œuvre d’évaluations similaires, et en particulier axées sur l’apprentissage.

– 3 à 6 ans d’expérience pratique dans la conduite de processus participatifs en zones de conflit.

– une bonne compréhension de l’approche basée sur les droits de l’homme ainsi que des approches et des outils tenant compte de la dimension de genre

– une expérience pratique de 1 à 3 ans sur des thèmes tels que la consolidation de la paix, la gouvernance, l’extrémisme violent, etc.

– parlant français (essentiel) et/ou bamanakan et autres langues régionales pertinentes pour l’évaluation (souhaitable).

– une expérience pratique de 1 à 3 ans sur des thèmes tels que la consolidation de la paix, la gouvernance, l’extrémisme violent, etc.

– Une expérience préalable avec l’Agence Autrichienne de Développement, le bailleur de ce projet, serait appreciée.

Contexte du projet

Dans ce contexte, International Alert (IA) met en œuvre un projet intitulé “Promouvoir l’engagement des jeunes vulnérables dans la lutte contre l’extrémisme violent dans les zones frontalières du Mali et du Burkina Faso à travers une approche de gouvernance participative et de réinsertion socio-économique”. Le projet vise à réduire les niveaux élevés d’extrémisme violent et à promouvoir une sécurité plus efficace, responsable, basée sur la confiance et la collaboration par les forces de sécurité et de défense maliennes pour s’attaquer aux causes profondes de l’extrémisme violent dans le centre du Mali et aux frontières avec le Burkina Faso.

Ce projet est mis en œuvre au Mali, dans les régions de Mopti, Ségou et Sikasso. Sept communes sont ciblées : Mopti et Douentza (Mopti) ; Ségou et Tominian (Ségou) ; Sikasso, Hérémanoko et Koury (Sikasso).

Le projet vise principalement les jeunes hommes et femmes des communautés par l’intermédiaire des conseils locaux et communaux de la jeunesse, des représentants des forces de sécurité et de défense et des autorités locales en tant que bénéficiaires directs. Les bénéficiaires directs prévus sont estimés à un total de 1 000 personnes (réparties entre 500 hommes et 500 femmes). Au total, 138 522 personnes (dont 50 % de femmes) devraient bénéficier indirectement de la mise en œuvre du projet. Il s’agit d’organisations de la société civile, d’autorités traditionnelles et de la population cible au sens large.

L’objectif global à long terme auquel l’intervention vise à contribuer est de “prévenir et réduire l’extrémisme violent au Sahel par une approche de renforcement de la résilience”.

La théorie du changement sur laquelle s’appuie ce projet est la suivante :

Si les jeunes hommes et femmes et d’autres groupes marginalisés participent de manière significative à un dialogue inclusif, si la confiance et les liens de collaboration entre les jeunes vulnérables, les forces de sécurité et de défense et les autorités civiles sont établis pour permettre la paix et la prospérité, et si les jeunes vulnérables sont soutenus par des initiatives de réhabilitation et de réinsertion sociale et économique, alors l’extrémisme violent qui affecte la sécurité des frontières sera abordé et la résilience des jeunes à l’extrémisme violent sera renforcée dans le centre du Mali et le long des frontières avec le Burkina Faso, contribuant ainsi à la prévention et à la réduction de l’extrémisme violent au Sahel.

Ce projet est basé sur l’expérience et les leçons tirées du travail d’Alert au Mali sur le renforcement de la gouvernance de la sécurité dans le Nord et le Centre du Mali depuis 2013, ciblant principalement les régions de Mopti, Ségou, Bandiagara, Douentza, et Tombouctou, dans le but de prévenir et de contrer l’extrémisme violent.

Dans le cadre de cette programmation de la gouvernance de la sécurité, Alert s’est concentrée sur l’amélioration de la confiance et de la collaboration entre les communautés locales et les Forces de Défense et de Sécurité (FDS) à travers le dialogue et le renforcement des capacités en matière de sensibilité aux conflits et au genre, et sur l’augmentation de la résilience des femmes et des jeunes maliens et de leurs communautés face à l’extrémisme violent. Plus spécifiquement, le programme soutient fortement la transformation des conflits intra et intercommunautaires, la prévention de l’extrémisme violent au niveau local à travers la mise en place et l’accompagnement de forums locaux promouvant le dialogue autour des principales sources de violence et des stratégies et actions d’atténuation de la violence.

En tant que tel, le projet s’articule autour des trois principaux domaines de résultats suivants, dont deux ont été mis en œuvre (résultat 1 et résultat 2), tandis que le résultat 3 est toujours en attente de mise en œuvre à la mi-décembre 2024.

Résultat 1 : La résilience des jeunes face à l’extrémisme violent est renforcée par la création d’espaces de dialogue inclusifs et participatifs et d’opportunités économiques.

Dans le cadre de ce résultat, Alert a mis en place et géré des forums de dialogue communautaire dirigés par des jeunes dans les zones frontalières au niveau communal (1.1) ; a formé les membres des forums de dialogue à la sensibilité et à l’analyse des conflits et du genre (1.2) et a formé des jeunes (hommes et femmes) à la gestion et à la résolution des conflits (1.3) ainsi qu’au plaidoyer et au lobbying (1.4). Alert a sensibilisé les jeunes aux risques de l’extrémisme violent en diffusant des témoignages et en dialoguant avec des survivants de l’extrémisme violent (1.5). Ces activités visent à accroître la participation des jeunes à la prise de décision afin de réduire les griefs et de renforcer la résilience.

Résultat 2 : La confiance et les liens de collaboration entre les jeunes vulnérables, les forces de sécurité et de défense et les autorités civiles sont renforcés pour favoriser la paix et la prospérité.

Dans le cadre de ce résultat, Alert soutient le développement et la mise en œuvre d’actions civilo-militaires conjointes visant à instaurer la confiance et à promouvoir la cohésion sociale (2.1), à former les chefs traditionnels des communautés, les agents du gouvernement local et les prestataires de services de sécurité au droit international humanitaire et au droit des conflits armés dans les zones frontalières (2.2), la formation des organisations communautaires et des conseils locaux de jeunes pour réduire la stigmatisation liée à l’extrémisme violent au sein des communautés locales et promouvoir la coexistence pacifique dans les zones frontalières (2.3), et la sensibilisation à l’État de droit, aux politiques de lutte contre l’incivilité, la corruption et la drogue (2.4) dans le but d’instaurer la confiance et des liens de collaboration entre les jeunes vulnérables, les FDS et les autorités civiles afin de favoriser la paix.

Résultat 3 : Les jeunes vulnérables bénéficient d’initiatives de réhabilitation et de réinsertion sociale et économique.

Dans le cadre du résultat 3, Alert réhabilitera des centres d’apprentissage pour les jeunes au niveau communal afin de promouvoir l’échange mutuel entre les jeunes (3.1), soutiendra des activités génératrices de revenus, y compris la formation professionnelle, l’alphabétisation de base et la formation par les pairs, pour les jeunes à risque identifiés afin de faciliter la réintégration économique des jeunes vulnérables (3.2 et 3.3), soutenir le développement et la mise en œuvre de microprojets PVE menés par des jeunes au niveau communal (3.4), et former les ONG locales, le secteur privé, les autorités, les forces de sécurité et les communautés à réduire et à combattre la stigmatisation (3.5) dans le but de soutenir les jeunes vulnérables par des initiatives de réadaptation et de réinsertion sociale et économique.

Veuillez noter qu’il ne s’agit là que d’une partie des exigences requises pour ce poste.

Les candidats et les équipes intéressés doivent fournir les CV de tous les consultants impliqués, ainsi que leurs rôles respectifs au sein de l’équipe, et une lettre d’intention décrivant leur approche de ce travail et la manière dont leur expérience leur permet de le mener à bien de manière qualitative (2 pages maximum).

Toutes les candidatures doivent être envoyées à [email protected]

Les équipes locales, féminines et ethniquement diversifiées sont vivement encouragées à poser leur candidature.

International Alert est fière d’être un employeur respectueux de l’égalité des chances et accueille particulièrement favorablement les candidatures de personnes sous-représentées, notamment les femmes, les personnes du Sud, les BIPOC, les personnes LGBTQIA+, les personnes handicapées et d’autres personnes historiquement marginalisées.

Bien qu’International Alert s’efforce de contacter tous les candidats dans un délai raisonnable, cela n’est pas toujours possible en raison de ressources limitées. Par conséquent, si vous n’avez pas reçu de nouvelles de notre part dans les deux semaines suivant la date de clôture, vous pouvez considérer que votre candidature n’a pas été retenue.

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  • Job City Bamako, Mopti, Tominian
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International Alert was founded in 1986 to help people find peaceful solutions to conflict.At that time, the number of conflicts between countries was decreasing, but there was an alarming increase in the number of conflicts within countries. These conflicts were undermining development and leading to gross violations of human rights. Identifying and highlighting individual abuses of human rights was not enough; a different approach was desperately needed. It was out of this urgency that International Alert was born.In 1985 the Standing International Forum on Ethnic Conflict, Development and Human Rights (SIFEC) was founded with the purpose of addressing the issue of internal conflicts and to alert governments and the world to developing crises. The following year, SIFEC merged with another organisation, International Alert on Genocide and Massacres, to become the charity we know today.In 1986 we named our first Board of Trustees as well as Secretary General, Martin Ennals. Martin was the former Secretary General of Amnesty International and founder of Article 19, and a pioneer of the human rights movement. He served as our Secretary General – and for a time our only full-time member of staff – from 1986–1990. It is thanks in no small part to his energy, inspiration and vision that we have become the organisation that we are today.Building on our early work in Sri Lanka, Uganda and the Philippines, we now help people find peaceful solutions to conflict in over 30 countries around the world and are one of the world’s leading peacebuilding organisations.Thank you to everyone who has supported us over the years.

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0 USD Bamako, Mopti, Tominian CF 3201 Abc road Consultancy , 40 hours per week International Alert

Cette évaluation de mi-parcours participative, axée sur l’apprentissage, est une excellente opportunité d’identifier les approches clé et les bonnes pratiques autour de l’engagement des jeunes vulnérables dans la lutte contre l’extrémisme violent dans le contexte sahélien, du point de vue des communautés impliquées.

Les candidats retenus concevront l’étude et rédigeront un rapport d’inception, puis mèneront le travail de terrain, et enfin la rédaction d’un rapport ainsi que la présentation des résultats et apprentissages clé.

Nous recherchons une équipe de consultants avec :

– 2 à 6 ans dans la conception et la mise en œuvre d’évaluations similaires, et en particulier axées sur l’apprentissage.

– 3 à 6 ans d’expérience pratique dans la conduite de processus participatifs en zones de conflit.

– une bonne compréhension de l’approche basée sur les droits de l’homme ainsi que des approches et des outils tenant compte de la dimension de genre

– une expérience pratique de 1 à 3 ans sur des thèmes tels que la consolidation de la paix, la gouvernance, l’extrémisme violent, etc.

– parlant français (essentiel) et/ou bamanakan et autres langues régionales pertinentes pour l’évaluation (souhaitable).

– une expérience pratique de 1 à 3 ans sur des thèmes tels que la consolidation de la paix, la gouvernance, l’extrémisme violent, etc.

– Une expérience préalable avec l’Agence Autrichienne de Développement, le bailleur de ce projet, serait appreciée.

Contexte du projet

Dans ce contexte, International Alert (IA) met en œuvre un projet intitulé "Promouvoir l'engagement des jeunes vulnérables dans la lutte contre l'extrémisme violent dans les zones frontalières du Mali et du Burkina Faso à travers une approche de gouvernance participative et de réinsertion socio-économique". Le projet vise à réduire les niveaux élevés d'extrémisme violent et à promouvoir une sécurité plus efficace, responsable, basée sur la confiance et la collaboration par les forces de sécurité et de défense maliennes pour s'attaquer aux causes profondes de l'extrémisme violent dans le centre du Mali et aux frontières avec le Burkina Faso.

Ce projet est mis en œuvre au Mali, dans les régions de Mopti, Ségou et Sikasso. Sept communes sont ciblées : Mopti et Douentza (Mopti) ; Ségou et Tominian (Ségou) ; Sikasso, Hérémanoko et Koury (Sikasso).

Le projet vise principalement les jeunes hommes et femmes des communautés par l'intermédiaire des conseils locaux et communaux de la jeunesse, des représentants des forces de sécurité et de défense et des autorités locales en tant que bénéficiaires directs. Les bénéficiaires directs prévus sont estimés à un total de 1 000 personnes (réparties entre 500 hommes et 500 femmes). Au total, 138 522 personnes (dont 50 % de femmes) devraient bénéficier indirectement de la mise en œuvre du projet. Il s'agit d'organisations de la société civile, d'autorités traditionnelles et de la population cible au sens large.

L'objectif global à long terme auquel l'intervention vise à contribuer est de "prévenir et réduire l'extrémisme violent au Sahel par une approche de renforcement de la résilience".

La théorie du changement sur laquelle s'appuie ce projet est la suivante :

Si les jeunes hommes et femmes et d'autres groupes marginalisés participent de manière significative à un dialogue inclusif, si la confiance et les liens de collaboration entre les jeunes vulnérables, les forces de sécurité et de défense et les autorités civiles sont établis pour permettre la paix et la prospérité, et si les jeunes vulnérables sont soutenus par des initiatives de réhabilitation et de réinsertion sociale et économique, alors l'extrémisme violent qui affecte la sécurité des frontières sera abordé et la résilience des jeunes à l'extrémisme violent sera renforcée dans le centre du Mali et le long des frontières avec le Burkina Faso, contribuant ainsi à la prévention et à la réduction de l'extrémisme violent au Sahel.

Ce projet est basé sur l'expérience et les leçons tirées du travail d'Alert au Mali sur le renforcement de la gouvernance de la sécurité dans le Nord et le Centre du Mali depuis 2013, ciblant principalement les régions de Mopti, Ségou, Bandiagara, Douentza, et Tombouctou, dans le but de prévenir et de contrer l'extrémisme violent.

Dans le cadre de cette programmation de la gouvernance de la sécurité, Alert s'est concentrée sur l'amélioration de la confiance et de la collaboration entre les communautés locales et les Forces de Défense et de Sécurité (FDS) à travers le dialogue et le renforcement des capacités en matière de sensibilité aux conflits et au genre, et sur l'augmentation de la résilience des femmes et des jeunes maliens et de leurs communautés face à l'extrémisme violent. Plus spécifiquement, le programme soutient fortement la transformation des conflits intra et intercommunautaires, la prévention de l'extrémisme violent au niveau local à travers la mise en place et l'accompagnement de forums locaux promouvant le dialogue autour des principales sources de violence et des stratégies et actions d'atténuation de la violence.

En tant que tel, le projet s'articule autour des trois principaux domaines de résultats suivants, dont deux ont été mis en œuvre (résultat 1 et résultat 2), tandis que le résultat 3 est toujours en attente de mise en œuvre à la mi-décembre 2024.

Résultat 1 : La résilience des jeunes face à l'extrémisme violent est renforcée par la création d'espaces de dialogue inclusifs et participatifs et d'opportunités économiques.

Dans le cadre de ce résultat, Alert a mis en place et géré des forums de dialogue communautaire dirigés par des jeunes dans les zones frontalières au niveau communal (1.1) ; a formé les membres des forums de dialogue à la sensibilité et à l'analyse des conflits et du genre (1.2) et a formé des jeunes (hommes et femmes) à la gestion et à la résolution des conflits (1.3) ainsi qu'au plaidoyer et au lobbying (1.4). Alert a sensibilisé les jeunes aux risques de l'extrémisme violent en diffusant des témoignages et en dialoguant avec des survivants de l'extrémisme violent (1.5). Ces activités visent à accroître la participation des jeunes à la prise de décision afin de réduire les griefs et de renforcer la résilience.

Résultat 2 : La confiance et les liens de collaboration entre les jeunes vulnérables, les forces de sécurité et de défense et les autorités civiles sont renforcés pour favoriser la paix et la prospérité.

Dans le cadre de ce résultat, Alert soutient le développement et la mise en œuvre d'actions civilo-militaires conjointes visant à instaurer la confiance et à promouvoir la cohésion sociale (2.1), à former les chefs traditionnels des communautés, les agents du gouvernement local et les prestataires de services de sécurité au droit international humanitaire et au droit des conflits armés dans les zones frontalières (2.2), la formation des organisations communautaires et des conseils locaux de jeunes pour réduire la stigmatisation liée à l'extrémisme violent au sein des communautés locales et promouvoir la coexistence pacifique dans les zones frontalières (2.3), et la sensibilisation à l'État de droit, aux politiques de lutte contre l'incivilité, la corruption et la drogue (2.4) dans le but d'instaurer la confiance et des liens de collaboration entre les jeunes vulnérables, les FDS et les autorités civiles afin de favoriser la paix.

Résultat 3 : Les jeunes vulnérables bénéficient d'initiatives de réhabilitation et de réinsertion sociale et économique.

Dans le cadre du résultat 3, Alert réhabilitera des centres d'apprentissage pour les jeunes au niveau communal afin de promouvoir l'échange mutuel entre les jeunes (3.1), soutiendra des activités génératrices de revenus, y compris la formation professionnelle, l'alphabétisation de base et la formation par les pairs, pour les jeunes à risque identifiés afin de faciliter la réintégration économique des jeunes vulnérables (3.2 et 3.3), soutenir le développement et la mise en œuvre de microprojets PVE menés par des jeunes au niveau communal (3.4), et former les ONG locales, le secteur privé, les autorités, les forces de sécurité et les communautés à réduire et à combattre la stigmatisation (3.5) dans le but de soutenir les jeunes vulnérables par des initiatives de réadaptation et de réinsertion sociale et économique.

Veuillez noter qu’il ne s’agit là que d’une partie des exigences requises pour ce poste.

Les candidats et les équipes intéressés doivent fournir les CV de tous les consultants impliqués, ainsi que leurs rôles respectifs au sein de l’équipe, et une lettre d’intention décrivant leur approche de ce travail et la manière dont leur expérience leur permet de le mener à bien de manière qualitative (2 pages maximum).

Toutes les candidatures doivent être envoyées à [email protected]

Les équipes locales, féminines et ethniquement diversifiées sont vivement encouragées à poser leur candidature.

International Alert est fière d’être un employeur respectueux de l’égalité des chances et accueille particulièrement favorablement les candidatures de personnes sous-représentées, notamment les femmes, les personnes du Sud, les BIPOC, les personnes LGBTQIA+, les personnes handicapées et d’autres personnes historiquement marginalisées.

Bien qu’International Alert s’efforce de contacter tous les candidats dans un délai raisonnable, cela n’est pas toujours possible en raison de ressources limitées. Par conséquent, si vous n’avez pas reçu de nouvelles de notre part dans les deux semaines suivant la date de clôture, vous pouvez considérer que votre candidature n’a pas été retenue.

2024-12-18

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